Oui, Monsieur le Président, chers collègues,
On a déjà eu à plusieurs reprises, aussi bien en commission qu’ici en commission permanente, le débat sur un certain nombre que l’on pouvait
donner sur ces dispositifs de transition. Donc je n’y reviendrai pas. Mais cela étant, dans les votes qui nous concernent aujourd’hui, sur la 1858, sur la 1910, par exemple, nous nous abstiendrons. Je rappelle qu’il y a certaines entreprises, pour en citer quelques-unes par exemple, Synergihp Grand Est, Fossil, Charles-Antoine Alsace... Je pense, comme le disait tout à l’heure Géraldine KRIN, je la rejoins là-dessus, que dans la période que l’on vit aujourd’hui, on doit aussi peut-être s’interroger sur la meilleure utilisation des fonds d’aide qui sont les nôtres.
Et comme le dit Pascale GAILLOT sur le dossier 1966 en particulier, même si c’est un partenaire avec l’OFB qui est un financeur effectivement, qui est de plus en plus engagé à nos côtés, aux côtés des collectivités, c’est une bonne chose, je pense qu’il faut absolument revoir le cadre parce que si je prends l’exemple de Corteva Agriscience qui, au-delà du fait que c’est une entreprise qui a un chiffre d’affaires énorme, se fit financer avec une aide de la Région, l’installation d’une haie d’arbustes, d’arbres fruitiers, d’arbres adaptés aux changements climatiques, de bosquets de chemin piétonnier sur le site même de l’entreprise, bon, je crois que c’est pas tout à fait adapté à ce que l’on peut porter. J’ai bien entendu, on a eu effectivement un débat, ça peut être l’occasion de former les salariés, peut-être. Je ne sais pas d’ailleurs, si c’est forcément les salariés, qu’en plus d’être formés en l’occurrence et donc sur ce dossier pour marquer le coup aujourd’hui, je l’ai dit en commission pour marquer le coup, aujourd’hui nous nous opposerons donc sur 1966 et pour le 1859 comme il faut qu’on se retire à quelques-uns et je passerai la parole à Éric QUÉNARD après moi.
Merci.
[...]
Oui, je pense qu’il y a un certain nombre d’opportunités et que les choses évoluent très vite. Les derniers temps on évoque beaucoup la question de la compensation carbone dans les discussions qu’on aura très bientôt sur le SRADDET enfin, on les a déjà eues, mais c’est éviter, réduire, compenser, je crois que c’est une question que l’on peut se poser. Donc si l’on arrive à élargir, peut être et avoir vraiment un impact qui passe ne soit pas que l’impact propre à l’entreprise, mais plutôt sur le territoire, je pense que ça serait effectivement un sujet que l’on pourrait aborder en tout cas, vous nous trouverez à vos côtés pour mener cette réflexion.